Qu’est-ce qui vous a donné envie de postuler à La Bourse Tocqueville, et qu’espériez-vous accomplir ?

Mes passages par les formations de l’IFP (Institut de formation politique) et le souhait de me former à l’aventure associative.

Pouvez-vous décrire l’une des expériences les plus mémorables que vous avez eues pendant votre séjour à Washington, D.C. ?

Faire un discours lors d’une réunion de coalition devant plusieurs associations américaines.

Comment la bourse a-t-elle facilité les opportunités de réseautage, et pourriez-vous partager comment ces connexions vous ont aidé dans votre carrière ?

J’ai fait des rencontres amicales et politiques que j’entretiens encore aujourd’hui à Paris ou à Washington, D.C.. J’ai par exemple pu mobiliser ce réseau pour l’organisation d’un colloque à Paris en 2024 en faisant venir des invités de l’étranger. Je vais également chaque année à Washington grâce aux relations que j’ai pu tisser avec le Cercle Droit & Liberté.

Quelles compétences spécifiques avez-vous développées pendant la bourse qui vous sont utiles dans votre rôle actuel ?

J’ai pu développer des compétences en levée de fonds, communication politique, entretien du réseau.

En vous appuyant sur votre expérience, quel conseil donneriez-vous à quelqu’un envisageant de postuler pour La Bourse Tocqueville ?

De prendre le maximum d’informations que peuvent nous donner les directeurs d’associations et think tanks sur place. Certaines pourront servir des années plus tard.

Avec du recul, comment La Bourse Tocqueville a-t-elle influencé votre trajectoire professionnelle ?

La Bourse m’a ouvert le champ des possibles en me montrant que s’il était possible d’avoir des ambitions dans le milieu associatif et politique américain, il était nécessairement possible d’en avoir également dans le milieu associatif français et d’appliquer (en les adaptant parfois)  les méthodes apprises outre-Atlantique.

Si vous deviez résumer votre expérience de La Bourse Tocqueville en quelques mots, quels seraient-ils ?

Sky is the limit.